Ici, au Honduras, nous n’avons fait que de traverser le pays, de la douane El Amatillo à celle de El Espino (canon de Somoto). Avant d’y entrer, nous avions des préjugés quant à la sécurité et l’accueil de ce pays. Pourtant, des 6 postes de douanes que nous avons passés en 1 semaine, c’est ici que j’ai le plus rigolé. Si l’agent à la migration est un peu désagréable (mais il a un sacré boulot), les agents du DPI qui s’occupent du véhicule sont hyper souriants, ainsi que les employées de la banque de paiement et les policiers très serviables. Ce fut ainsi à la sortie également !

Toutefois, nous n’avions rien préparé pour ce pays, très peu d’informations. Je ne me suis même pas occupé de savoir combien de temps étaient valable nos visas et l’importation du véhicule puisque nous devions y passer juste quelques heures de route. C’est presque dommage et avons hésité à nous arrêter dans les montagnes.

Le contraste avec la plaine est incroyable. Belles construction en dur, jardins entretenus, bord de route propres ! Ici, c’est comme si un autre monde y avait établi ses quartiers. Il y avait même un parqueo avec piscines et place de jeu, très bien entretenu, juste avant la frontière du Nicaragua. Mais comme mentionné, nous n’avions rien préparé et une loupée en entrant au Salvador nous a suffi !

Nous sommes dès lors sorti du Honduras deux heures et trente minutes après y être entré, puis avons commencé notre aventure Nicaraguayenne.