Fraser Island, ses lacs, ses tracks de sable et ses marées. Du 12 au 14 mai 2015

La journée de jeudi commence tôt pour nous. Le rythme sur Fraser Island est quelque peu dicté par les marées. En marée basse (2 heures avant et 2 heures après) la plage est largement praticable à des vitesses allant jusqu’à 80km/h (limite officielle…), alors qu’à marée haute il est parfois difficile de passer le 40km/h dans le sable mou. Et aux vues des horaires des marées, nous décidons de nous rendre aujourd’hui sur la boucle se situant le plus loin de notre point de bivouac. Nous roulons 70km sur la plage pour entrer à Dili Village sur la track menant à plusieurs lacs.

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La première destination, après nos premier kilomètres à l’intérieur de l’ile sur des pistes sans grandes difficultés mais brassant tout de même, c’est le Boomanjin Lake. Comme tous les autres lacs sur l’ile, il est constitué uniquement d’eau de pluie. Mais celui-ci, étant entouré de Tee Tree, sa couleur vire au brun-rouge.

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Notre chemin continue ensuite vers Birabeen Lake toujours par des routes secouantes et nécessitant définitivement un 4×4. Nous sommes partagés dans la sensation de ce hors-piste. D’un côté, le fait d’être brassé pareillement ne nous enchante pas plus que ça. Certains viennent ici pour cela, nous pas, surtout que je carbure à l’Ibuprofène à cause de mon dos. C’est plutôt pour une autre sensation ; celle de venir par nos propres moyens, rouler à notre rythme, faire le temps que l’on souhaite aux endroits de visite, et également le challenge de réussir cela.

Et le lac Birabeen, c’est justement un de ces endroits où nous n’aurions pas aimé être stressé par un tour organisé qui pourrait nous dire ; au prochain ! L’arrivés en hauteur par quelques escaliers nous en met plein la vue. Nous y restons un moment et nous baignons

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C’est avec le McKenzie Lake que nous continuons la visite des lacs. Ce n’est pas sans faire un petit détour que nous y arrivons. Nous nous sommes en effet trompés de route à Central Station où beaucoup de route se rejoignent. C’est à McKenzie que nous prenons tout d’abord le pique-nique, puis restons un bon moment dans ce lieu considéré comme le point fort de l’ile.

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La descente depuis McKenzie jusqu’à Eurong est un peu abrupte, mais réalisons les 19km en un peu moins de 45 minutes. C’est ici que nous nous arrêtons pour un café et une glace bien méritée. La présence de cette espèce de village qui semble sortir de nulle part est assez surprenante. Nous assistons au bal des 4×4 et des camions (4×4 aussi) transportant les touristes. Notre journée se termine en rentrant au camping où nous avons laissé Héra. A 20h15 nous dormons tous, la preuve que cette journée était bien éprouvante.

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Vendredi, comme la marée est plus tardive, nous planifions de ne pas partir trop loin du camping. La plage étant bien utilisable jusqu’à 10h le matin, nous faisons déjà les points qui nous intéressait là le long. Cela débute avec Indian Head, un point en hauteur en bord de mer offrant une vue imprenable sur les plages adjacentes, au Nord et au Sud.

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Les points suivant sont Red Canyon et Pinnacles, des formations sableuse rouge ocre et rayées du genre Brice Canyon, en bien plus petit bien sûr. Puis également l’épave de Maheno, présente sur la plage depuis 1935 et ayant déjà servi auparavant à la première guerre mondiale.

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Nous partons pour dîner vers le lac Allom, un lac ayant pour particularité d’abriter de petite tortues d’eau douce. Cet endroit est un peu hors des sentiers touristiques et nous espérions y voir au moins un Dingo, chien sauvage spécifique à l’ile, mais que nenni, nous ne verrons rien.

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Puis, comme un petit paradis, nous terminons la journée avec Eli Creek. Petite rivière venant se jeter dans l’océan, la remonter à pied est enchanteur. Les enfants profitent du temps que nous passons ici pour jouer dans l’eau et au sable.

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La journée se termine à nouveau au camping où nous nous préparons déjà à repartir demain. La nervosité est présente à l’idée de conduire à nouveau Héra dans ce sable mou. SI ce n’est pas vraiment la conduite sur la plage qui me stresse un peu, c’est plutôt la montée et la descente sur la barge qui nous crée ce sentiment.

Nous sommes super contents, samedi matin, de repartir avec cette expérience incroyable en plus dans ce tour du monde. Nous plions Héra et l’attelons à Arion, puis débutons notre descente de l’ile jusqu’à la barge. Et le choix que nous avons fait, en planifiant bien notre trajet pour arriver au plus bas de la marée vers la barge, était le bon. Nous bénéficions d’une bonne zone de sable dur jusqu’à 20m de la zone de chargement, puis là arrive du sable peu compact. Ce n’est pas sans une petite frayeur au moment où Héra glisse en direction de l’eau que nous parvenons finalement à monter sur le bateau. Puis, arrive la sortie, et encore une fois le choix était bon. Là où nous sommes restés planté à l’aller, et bien aujourd’hui nous pouvons profiter de sable compact à nouveau sur une bonne distance, il n’y a qu’une cinquantaine de mètre à faire sur le sable sans cohésion. Mais je ne m’y ferai pas prendre deux fois. C’est à fond de troisième en vitesse courte que je passe et franchis sans soucis. Voici maintenant il faut regonfler les pneus, finalement abaissés à 17psi, avant de reprendre la route asphaltée pour Agnès Water.

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On nourrit des dauphins et on fait du 4×4 sur Fraser Island. Du 10 au 13 mai 2016

Nous voici sur la route de Raimbow Beach, porte d’entrée pour accéder à Fraser Island, la plus grande île de Sable au monde, avec ses nombreux lacs d’eau de pluie, ses routes de sable profond affreuses, puis ses Dingos (chien sauvage d’Australie). Elle fait 120 km sur 15 et se trouve être le seul endroit au monde où la forêt humide pousse sur ce type de sol. Les plus hautes dunes fonts 200m de haut.

Mais tout d’abord, nous arrivons à Tin Can Bay mardi soir. Car le lendemain, il y a le nourrissage des dauphins au centre marin local. Ici et dans les eaux salées alentours, vivent les dauphins d’estuaire. Ceux-ci sont particuliers par leur façon de vivre. Leur territoire (marinoir) de vie se trouve dans un espace d’environ 18km, au milieu de l’estuaire d’origine. Ils ne sortent jamais en haute mer et encore moins là où la profondeur dépasse les 20m. Auraient-ils le vertige des profondeurs ? Enfin… l’histoire du nourrissage commença dans les années 50. Un dauphin arriva vers la berge et un pêcheur le nourrit, puis le dauphin reparti. Ne le voyant pas le lendemain, il pensa que cela serait une expérience unique. Et bien non, il revint le surlendemain mais accompagné de sa fille cette fois-ci, puis plus tard avec d’autres spécimens. Cela fait plus de 60ans maintenant que les dauphins sont nourris chaque matin, et afin de récolter des fonds pour la sauvegarde de ces mammifères en danger, il est possible de les nourrir chaque matin, moyennant une finance totalement respectable (en comparaison aux autres endroits offrant la possibilité d’approcher un dauphin). Oui, nous aurons payé 5$/pers pour entrer et encore 5$ par poisson si l’on souhaite les nourrir. Donc pour un total de 10$ par personne, il aurait été ridicule de se priver. De cette expérience inoubliable et forte en émotions pour chacun d’entre nous.

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Nous partons ensuite pour Raimbow Beach et prenons quelques informations pour partir sur Fraser Island. Une virée sur cette île ne s’improvise pas. Pas de quoi jouer les gros, surtout lorsque l’on voit le wall of shame (mur de la honte) présentant des voitures englouties par la mer et le sable. A Fraser, les heures de marée se respectent et les routes se planifient ! Nous réservons notre barge, notre camping et payons notre permis de circuler sur l’ile avec Arion notre 4×4. La traversée sera pour 14h30, car avant la marée est trop haute. Donc en attendant, nous nous rendons à la plage de Raimbow Beach pour observer les dunes aux différentes couleurs. Malheureusement, la lumière n’était pas la meilleure.

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Nous prenons aussi le temps de pique-niquer peu avant le ferry, sur Inskip Point.

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Mais voici qu’arrive l’heure de se lancer dans cette aventure. Nous avons un peu la boule au ventre car nous ne sommes pas des habitués du 4×4, encore moins dans le sable, et l’accès à la barge est totalement faite de sable mou, profond, la mort quoi ! Après avoir pris quelques conseils autour de nous, nous partons avec 20psi de pression dans les pneus (1.6bar) et les vitesses courtes engagées ainsi que le blocage de différentiel activé. 2ème vitesse, pied presque au plancher, je garde ma vitesse tant que possible, mais au 2 tiers du sable mou, paf, bloqué ! Je jure un peu et me demande bien ce qu’on fout là… bande d’amateurs ! Mais maintenant, ben faut peller, et à ce jeu Jimmy me donne un bon coup de main. A peine les roues arrière dégagées, un Australien vivant sur l’ile me dépasse, revient sur les traces, recule et sort en me disant : « t’as un corde de remorquage !? ». Et en 3 minutes il nous sort de là et nous tracte jusqu’au sable plus ferme. Et oui, une remorque de 1.3to dans le sable, ça résiste un peu.

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Nous sommes supers nerveux une fois sur le ferry. Comment allons-nous faire si nous nous sommes déjà planté avant de monter à bord. Mais les locaux nous rassurent en nous disant qu’ils ont déjà vu bien plus gros trailer venir sur l’ile.

En sortant de la barge, il y a encore du sable peu compact. Je suis scrupuleusement les véhicules me précédant. La conduite sur ce bout de plage est encore un peu compliquée, avec la remorque qui vacille à l’arrière. Mais ça ne durera qu’une dizaine de kilomètres, puis ensuite ce sera 60 autres km à environ 70km/h sur du sable bien ferme, ponctué de quelques passage de ruisseau, d’un passage de rivière à Eli Creek puis quelques passages techniques vers les rochers. Mais dans l’ensemble, on se décontracte un peu.

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C’est en arrivant au Camping que les choses se corsent à nouveau. Il y a un petit cours d’eau à passer et surtout une montée avec une espèce de muret de sable à passer. Le coup semble jouable mais en demandant à de jeunes allemand descendant à pied comment ils avaient géré cela, leur réponse me refroidi ; ils sont arrivés beaucoup trop vite et on déjanté une roue. Donc c’est clarifié, je ressort la pelle et crée une pente douce au lieu de ce rebord affreux.

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Nous sommes tous contents car le tout à fonctionné et nous sommes maintenant au camping, installé pour trois nuits !

 

 

Après Dreamworld, des soucis en traversant Brisbane. Du 4 au 13 mai 2016

Nous voici le jour tant attendu par les enfants. Ces derniers ont reçu quelques sous de la famille pour réaliser des activités qu’ils souhaitent. Les parcs d’attractions de la Gold Coast sont justement une de ces activités que nous ne nous permettrions pas de faire si les enfants ne payaient pas leur propre entrée. A 445.00$ (entrée un jour) ou 465.00$ (entrée de plusieurs jours) pour la famille, c’est une activité plutôt hors-budget ! Mais les enfants l’on décidé, ils veulent s’y rendre et c’est ce que nous allons faire. Nous sommes, à Jacobs Well, à peine à 15 minutes de Dreamworld et Whitewater World. Ces deux parcs sont bien distincts mais appartiennent au même groupe. Nous pourrons donc profiter des deux et surtout nous rafraichir en milieu de journée, lorsque la température sera trop élevée pour attendre dans les files d’attente. Nous voici donc à Dreamworld !

Nous sommes surpris par le peu de monde finalement présent en ce jour de semaine hors période de vacances scolaires. Cela rend parfois le parc un peu bizarre, avec une ambiance qui ne colle pas à ce genre de lieux normalement blindés de monde surexcité. Non, aujourd’hui c’est très calme et presque vide. Pourtant, nous apprécions finalement cela avec tout le mérite qu’il se doit. Les attractions sont pour nous !

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Nous n’attendons que très peu avant de pouvoir monter à bord des trains, buches, motos, avions et j’en passe… Nous prenons beaucoup de plaisir et nous nous amusons comme des foufous. Même Claire me surprendra à réaliser quelques attractions qui retournent le ventre.

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Vient enfin la pause de midi, histoire de calmer et caler nos estomacs. Nous enchainons dans la foulé avec la partie aquatique, le Whitewater Wolrd. Des toboggans en pagaille, des jeux d’eau ou une piscine de vague, largement assez pour nous en mettre plein la vue (ou le dos pour ceux qui n’en ont pas un en parfait état, ce soir c’est irfen qui m’accompagnera !).

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Tant les enfants que nous, nous nous éclatons et remontons sur de nouvelles attractions dès la précédente terminée. Et Amélie aussi se lâche. Alors certes, elle a la plus part du temps les yeux fermés sur les photos prises automatiquement dans les descentes du parc, mais elle se surmonte et fait preuve de beaucoup de courage. Soraya et Jimmy, eux, en redemande encore et encore. Alors que Claire, encore une fois, nous surprend à se mouiller et à se lancer en-bas de ces toboggans.

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Le parc aquatique fermant à 15h, alors que les attractions mécaniques, elles, ferment à 17h, nous terminons la journée avec quelques tours supplémentaires après une bonne glace !

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Nous rentrons à la fermeture du parc pour nous reposer de cette journée remuante. Nous sommes si heureux, spécialement dans un moment comme celui-ci, de retrouver notre Héra, une véritable maison prête à accueillir ses hôtes. Lessivés, nous nous couchons tous à 19h30, car demain d’est la même journée qui nous attend.

Jeudi, nous passons un peu plus de temps dans la partie aquatique, mais le tout ressemble quand même à la journée passée la veille.

Vendredi, les enfants et Claire remettent cela. Comme j’ai cassé mon smartphone il y a quelques jours, je profite de la présence d’un shop électronique seconde main à Surfers Paradise pour le changer. La ville se trouvant à 40 minutes du parc, cela ne servait à rien de trainer toute la famille, et disposant d’un passe de 7 jours, c’était l’occasion rêvée pour les enfants de refaire les attractions qu’ils ont aimé. Un fois la famille récupérée, nous prenons la route dans le but de traverser Brisbane et faire déjà quelques kilomètres en direction de Nossa Heads, puis Fraser Island. Mais nous arrivons en plein dans les embouteillages, et c’est à ce moment que l’embrayage commence à faire des caprices… lorsque je presse sur la pédale, le 80% de la course se fait dans le vide puis les 20% restant font le débraillage. Il devient de plus en plus difficile de changer les vitesses et je commence à stresser. A l’arrêt, il me faut passer la deuxième, la troisième puis réessayer la première pour réussir à la passer mais je dois grandement forcer. Ensuite, la circulation reprend correctement et j’arrive jusqu’à la cinquième où le passage se fait en deux fois avec un sale bruit lors du premier essai. Nous atteignons finalement notre but du jour, pour le bivouac, mais non sans peine pour le passage des vitesses. Nous demandons à une personne sur place s’il connait un garagiste. Il nous indique une rue où il s’en trouve à la pelle, c’est donc là que j’irai demain sans tirer Héra.

Samedi matin je passe donc dans 3 garages différents. Les deux premiers me disent qu’il faut changer tout l’embrayage et que ça reviendrait environ 1600$. Le dernier sera le seul à se pencher vers les pédales et me dit qu’il y a une pièce cassée. Total de la réparation : 200$, ouf ! Mais comme une espèce de manque de confiance au véhicule m’est apparu avec cette histoire, je prends rdv lundi pour un contrôle approfondi avant de nous lancer sur des routes comme Fraser Island. Mais en attendant, nous nous installons à Mooloolaba, une ville balnéaire avec un camping sympa à 50m de la plage.

Les enfants y font le rencontre Luc, un australien présent pour le week-end. Ils passeront la quasi-totalité de leur temps à jouer ensemble. Nous passons, ici, un temps agréable avec des baignades, des châteaux de sable, des grillades et quelques balades le long de l’eau.

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Puis arrive le moment de présenter le véhicule pour faire le contrôle. Et c’est la grosse déconfiture. Beaucoup d’éléments sont négatifs. Certains ne sont que des défauts de vieillesse et ne peuvent être imputé au propriétaire précédent. Mais d’autres me dérange plus, surtout quand le garagiste me dit que ce véhicule n’aurait pas dû obtenir le certificat de contrôle technique pour défaut sur deux pièces. Bref, nous avons notre moment de grosse colère puis décidons de faire réaliser les travaux pour 2500$ ! Et oui, c’est vraiment la grosse claque. En même temps, nous avons maintenant l’esprit tranquille pour nous rendre tout bientôt sur Fraser Island, puis pour nous engager sur des pistes diverses. Un mal pour un bien !

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