On passe la deuxième, et le point le plus au Sud de notre tour du monde. Du 1er au 7 mars 2016

Rassasiés de nos aventures dans les Fjords, tout de suite après Milford nous décidons de mettre la deuxième et rejoindre le jour-même les Catelins. Le kilométrage du jour atteindra les 450km, ce qui n’est pas une mince affaire en NZ, et dans les fjords encore moins. Nous atteignons un simple bivouac pour le soir et repartirons déjà le lendemain.

Un peu d’école, nous replions la tente, et vroum…. Nous repartons ce mercredi matin pour rentrer complétement à l’intérieur des Catelins, région très appréciée des voyageurs que nous avons rencontrés, et nous comprenons vite pourquoi.

1 paysages Catelins (1)

1 paysages Catelins (2)

Le premier arrêt du la journée est à Waipapa Point LightHouse. En plus d’un joli coup d’œil, nous rencontrons nos premiers lions de mer. Attention, ils ont beau être gros, si vous n’y faite pas gaffe vous pourriez ne pas les voir avant de vous en approcher trop ! Cela a failli être mon cas, si Claire ne m’avait pas avertie avant. Il faut savoir qu’ils sont plutôt inoffensifs, pour autant que l’on n’entre pas dans leur limite, dans quel cas la charge serait rapide et violente. Mais qu’on soit clair, il y a des avertissements avant, dont l’exhibition de ses grosses dent jaunes.

2 waipapa point (1)

Nous partons ensuite pour Slope point. Très bel endroit également, il a surtout la particularité d’être le point le plus au Sud de l’île du Sud, et par la même occasion le point LE PLUS AU SUD DE NOTRE TOUR DU MONDE !

3 Slope Point (3)

3 Slope Point (6)

3 Slope Point (5)

3 Slope Point (4)

Enfin, nous terminons le chemin du jour en nous rendant à Curio Bay. Ici, nous nous établissons dans le camping très, mais alors très basique de la municipalité et allons le soir-même rendre visite au manchot antipode. Je reste volontairement au singulier car nous aurons vu UN spécimen, pas plus. Enfin, soyons clair, nous sommes déjà bien heureux de l’avoir si bien vu.

4 manchots antipodes (1)

4 manchots antipodes (3)

4 manchots antipodes (2)

C’est jeudi matin que nous allons vivre un moment plutôt spécial. Toujours à Curio Bay, nous démontons la tente et nous installons face à la mer pour le petit déjeuner. Durant la mise en place, nous avons la chance de pouvoir observer les dauphins Hector présents dans la baie. Ce matin, ils sont très joueurs et sautent de partout. Le ventre plein, nous partons avec Jimmy pour sa première leçon de surf depuis maintenant une année, la dernière ayant été donnée par Deny au Salvador. Jimmy s’éclate et moi aussi, l’aidant à prendre les vagues.

5 surf Jimmy (2)

5 surf Jimmy (1)

Puis, au même moment, c’est Amélie et Soraya qui vont vivre quelque chose d’incroyable. Les dauphins se trouvent très prêts de la plage. Ni une, ni deux, Soraya se change et saute dans l’eau (bien qu’elle ne soit pas à plus de 15°) et nage en leur direction. Amélie, elle, ne se sent pas sûre et Claire ne voulant pas se jeter à l’eau, c’est Maikel et Mouette (deux voyageurs hollandais) qui la prenne en charge. Les deux filles se retrouvent dans l’eau à nager avec les dauphins. Ceux-ci jouent à moins de 5m de Soraya et Amélie qui vivent un moment incroyable. Elles se sont baignées avec des dauphins Hector ! Malheureusement, nous n’avons pas pu prendre de photos représentative, mais les images sont bien dans leur mémoire.

6 dauphin hector

L’après-midi, nous roulerons jusqu’au Camping de Purakaunui bay en passant par les McLean Falls.

7 McLean Falls (1)

 

7 McLean Falls (3)

7 McLean Falls (5)

8 purakaunui beach (1)

8 purakaunui beach (2)

Après une nouvelle nuit pluvieuse, nous partons ce vendredi en commençant par une visite à Cannibal beach, où nous observons des lions de mer se battant pour leur territoir. Un moment sauvage super impressionnant, surtout à une hauteur de 1.20m, hauteur du point de vue d’Amélie.

9 Cannibal beach (1) 9 Cannibal beach (5)

Nous enchainons avec Nugget Point. Le lieu est bien agréable et le coup d’œil à nouveau très joli.

10 Nugget point (2)

10 Nugget point (3)

Ensuite, après plusieurs changement d’idée, nous nous rendons jusqu’à la péninsule d’Otago. Nous sommes un peu fatigué de monter et démonter la tente sans arrêt et prenons la décision de prendre une chambre de Motel. Chance pour nous, nous trouvons une belle habitation avec tout le confort, deux chambres, un salon et une cuisine pour un prix tout à fait convenable. Nous nous y reposons tellement bien, que nous resterons tout le samedi, à l’exception d’une petite sortie pour faire des achats à Dunedin. Tout le monde y trouve son compte, les enfants étalant leurs jeux et les parents vacant à leurs occupations tels que la mise à jour du blog et autres recherches internet nécessaires.

Ce n’est que dimanche que nous partirons découvrir la pointe de la péninsule. Ici, se trouve un centre d’interprétation sur les Albatros, les otaries et les manchots antipodes ainsi que les manchots bleus. Nous avons d’ailleurs la chance de voir trois des quatre précités. Nous voyons les otaries en grand nombre, les bébés manchots bleus dans leurs nids et les Albatros en vol.

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Lundi, en partance pour Oamaru, nous faisons halte à la chocolaterie Cadbury de Dunedin. Dégustation de chocolat, explication sur certaines préparations et chute de chocolat avec 1 tonne de chocolat fondu passant en environ 30sec. Les enfants ont adorés, les parents aussi, la ceinture sûrement moins.

12 cadbury

Un dernier petit crochet par la Baldwin street avant de prendre la route nous fait découvrir une particularité de Dunedin. Ce serait (selon leurs dires bien sûr) la rue résidentielle la plus en pente du monde, à 22° ! Nous l’avons testé avec Bob, et bien c’est en marche arrière que nous avons dû la redescendre. Le moteur s’est mis à fumer et nous avons presque calé à 5m du but…

13 Bladwin street (1)

13 Bladwin street (2)

Sur le chemin d’Oamaru, nous faisons encore une halte à Moreraki Boulders, des formations rocheuses sphériques, sortant des falaises suite à l’érosion de celle-ci. Leur création n’est pas entièrement définie, une part de mystère entourant les théories existantes.

14 moreraki boulder (3)

14 moreraki boulder (4)

Après quelques nouveaux kilomètres et la pose de la tente, notre journée se termine par une ultime visite à Oamaru. Ici, les petits pingouins bleus ont établis une colonie et rentre chaque soir (de nov à mars) entre 21 et 22h. Malheureusement, en mars, il fait nuit et pour faire une photo, il faut attendre qu’ils passent sous un lampadaire. Mais le spectacle est beau et les enfants ont adorés.

15 Oamaru (1)

Demain, direction Mount Cook et les Alpes néo-zélandaises.

 

Milford Sound, quand une journée vire au conte de fée. Le 1er mars 2016

Après la visite des Doubtful Sounds, l’envie de voir les fjords du Milford Sound était grande. Beaucoup plus petit que le premier cité, Milford semble être plus impressionnant pour sa largeur étroit et ses montagnes plus hautes de 300m. Doubtful, lui, est plus majestueux pour son immensité et son vert éclatant. Bref, visiter aujourd’hui le deuxième ressemble à ajouter un deuxième étage au gâteau d’hier qui lui-même avait déjà la cerise…

Nous partons de Te Anau avec l’idée de faire un ou deux arrêts sur le chemin pour les points de vue qui longent la route, puis faire ceux restants au retour. L’arrêt numéro un, c’est avant de s’engouffrer dans les montagnes de la région des fjords que nous le faisons. Nous avons la plaine devant nous, et la vallée serrée au fond.

1 plaine et vallée (1)

1 plaine et vallée (3)

L’arrêt numéro deux, c’est au fameux mirror lake, un petit plan d’eau très calme donnant un joli reflet des montagnes derrière lui.

2 mirror lake (1)

Puis, nous nous engouffrons au milieu de ces montagnes, dont certaines sont décorées de glaciers bien blancs, semblant irréel tant l’hiver parait si lointain. Une chance énorme nous accompagne depuis notre départ de Te Anau, le ciel est d’un bleu unique n’étant troublé par aucun nuage, un fait exceptionnel dans cette région baignée par plus de 7000mm de pluie annuelle. Le décor en est, du coup, absolument splendide. A chaque virage, le torticolis s’accentue un peu plus, la tête tournant de gauche à droite à mesure que les décors évoluent. Du coup, les arrêts sont plus nombreux que prévus, et les photos nombreuses.

3 route milford (1) 3 route milford (6)

Nous arrivons finalement au port de Milford à 10h55, sans réservation ni billets, alors nous nous renseignons sur les disponibilités. Le moins cher pour nous sera le Jucy tour, départ à 11h15. Il ne nous reste plus qu’à trouver une place de parc pas trop loin, payer au guichet et nous rendre au bon bateau. Tout cela fait, nous embarquons directement et le bateau part. Quel timing !

Et voici que commence la croisière dans le Milford Sound. Michel et Daniel, que nous avions rencontré hier, ne s’y sont pas trompés ; les deux fjords sont totalement différents. A peine sortis du port, le Mitre Peak, sommet à 1692m d’altitude, se dresse devant nous, sortant de l’eau comme un homme se tenant droit, au garde à vous. A sa droite, une paroi quasi verticale de 1200m lui fait face, donnant une largeur oppressante au fjord. 

4 Mitre Peak (2)

4 Mitre Peak (4)

Nous évoluons entre ces parois avec le bateau, à un rythme tranquille, longeant les roches sur notre gauche, et après quelques jolis découvertes, nous faisons un arrêt devant des otaries juvéniles.

5 milford et otaries (1)

  5 milford et otaries (6)

5 milford et otaries (4)

5 milford et otaries (7)

Vraiment, le sentiment qui nous habite est peu descriptible. Autant les fjords de Doubtful sont énormes, verts, longs, avec plusieurs ramifications et majestueux, autant Milford est serré, vertigineux et magique aussi ! Nous nous rendons jusqu’à la mer de Tasman également. La mer est peu agitée aujourd’hui, contrairement à hier, et la cote très belle à observer.

6 Cote Milford

Puis, la boucle étant faite, nous retournons dans le fjord. Ici à Milford, l’entrée est très impressionnante. La perspective des montagnes est si fermée qu’il est difficile, si l’on ne connait pas son existence, de deviné le passage.

7 Entrée milford (1)

 7 Entrée milford (2)

7 Entrée milford (3)

Vraiment, cette visite est enchanteresse, une parfaite complémentarité à la visite d’hier dans le Doubtful. Pourtant, alors que la journée sous le ciel bleu des plus parfait, est déjà merveilleuse, elle va tourner au conte de fée avec cette dernière rencontre, nous faisant oublier de regarder les paysages autour de nous. Un grand groupe de plusieurs dizaines de dauphins vient nous accompagner durant une bonne quinzaine de minutes juste devant et sur le côté du bateau. Un moment incroyablement magique. Les enfants sont aux anges, voyant les dauphins jouer, faisant la course avec le bateau et entre eux, sautant dans les remous. Quelle plus belle fin pouvait avoir cette visite dans les Milford sound ?

8 dauphins milford (3) 8 dauphins milford (2) 8 dauphins milford (1)

Le tour terminé, nous nous sentons rassasiés et sommes tous prêts à repartir vers de nouveaux paysages. Les découvertes, ici, ne pouvaient pas être plus pleine, et rester encore ne fait plus sens. Alors, nous repartons le sourire aux lèvres en direction du sud sud, pour voir les Catelins.

 

Te Anau, et aussi à Doubtful sound. Du 27 au 29 février 2016

Nous voilà arrivés à Te Anau (à prononcer « t’es à Naou » et pas « t’es à Nods »). Village très touristique encore une fois, mais cela ne devrait plus se dire car c’est juste normal en NZ. Il n’en est pas moins mignon et sa situation au bord du lac du même nom le rend vraiment agréable pour y séjourner quelques peu. C’est aussi le dernier village avant les Milfords sound.

Nous arrivons le samedi après-midi, puis après avoir établi nos quartiers dans un motorcamp du lieu, nous partons visiter le sanctuaire d’oiseaux, une petite volière du département de conservation de NZ. Le tour y est assez vite fait, en une trentaine de minutes. Le site est vraiment sympa et nous a permis de voir un nouvel oiseau néo-zélandais qui ne vole pas. Sa particularité par rapport aux autres, c’est qu’il avait été déclaré espèce éteinte dans les années 50 avant que de nouveaux spécimens ne soient découverts et ayant donné lieu à une mission de sauvetage pour développer sa population. Elle devrait être réintroduite sur une des îles du sound de Doubtful d’ici peu.

1 sanctuary bird (1)

1 sanctuary bird (3)

Dimanche, c’est une petite marche qui va nous occuper une partie de la journée. Le soleil étant annoncé le matin, nous partons avant de faire l’école et la ferons au retour. Objectif du jour, Moturau Hut (cabane de randonnée) au bord du lac Manapouri, faisant partie du Kepler Track. Ce que nous aimons, lorsque nous marchons, c’est la diversité et les changements de décors. Cette marche ne l’offre malheureusement pas. Pourtant, elle n’en a pas été mauvaise, au contraire. Du parking à la Hutte, il y a une partie qui longe la rivière et offre de beaux points de vue.

2 kepler track rivière (1)

2 kepler track rivière (3)

2 kepler track rivière (2)

Puis, un peu plus loin, en sortant à peine de la forêt, sur le ponton, un accès dégagé sur les marécages donne la possibilité de découvrir ce genre de lieu faisant panser au seigneur des anneaux, notamment lorsque les hobbits sont couverts d’eau jusqu’au coup en traversant justement un de marais.

3 marécages (2)

Ensuite, jusqu’à la hutte, le chemin est un peu monotone, bien que dans une superbe nature. Le vert est fort et la mousse prenant le dessus sur l’écorce des arbres donne un côté très féérique à tout cela.

4 foret kepler track (3)

Puis, l’arrivée à la hutte donne un véritable sens à la marche. Non que les décors soient époustouflants, mais simplement beaux et sauvages ; sauvages à l’image des Sandflies vous dévorant à peine arrivé sur les lieux. On finit par s’y faire vous savez !

5 Manapouri lake c (1)

5 Manapouri lake c (2)

Le tout nous aura pris 2h45 pour un peu plus de 13.5km. Nous sommes épatés par nous enfants qui marchent sans broncher, qui nous suivent sans dire mot, et qui parfois nous sèment même quand ils veulent être seuls, et c’est sans peine qu’ils le font. Ce qui nous surprend parfois le plus, c’est Amélie qui, elle, passe un bon tiers de sa marche à courir. Et oui, c’est petite jambes n’offrent pas le développement des nôtres, mais elle suit et ne dit presque rien, ou alors si elle dit quelque chose c’est : « là…. Ça va quand même un peu trop vite pour moi ! » ; puis elle continue de marcher. Nous sommes tellement fiers d’eux et reconnaissant de pouvoir marche ainsi sans devoir nous battre avec la mauvaise humeur de l’un ou de l’autre.

6 famille

Voici que nous arrivons à lundi, notre premier jour réellement à l’intérieur d’un fjord. Nous avons décidé de casser la tirelire et de faire la folie de nous rendre dans les Doubtful sound. Nous disons « la folie » car le tour vaut 4 fois le prix des Milfords, mais il dure aussi 4 fois plus long et le fjord est aussi 4 fois plus grand. Et écrivant cette article avec du recul, Doubtful n’est ni mieux, ni moins bien, mais bien une expérience totalement différente de celle de Milford.

Pour se rendre dans le Doubtful, tout commence à Manapouri (ou Te Ananu pour ceux qui y prennent le bus) et la première partie de la journée se fait en ferry, pour traverser le lac Manapouri. Le spectacle commence déjà ici.

7 Manapouri lake (1)

7 Manapouri lake (4)

7 Manapouri lake (3)

7 Manapouri lake (2)

Ensuite, un parcours d’une trentaine de minute vous fait traverser un col, 600 et quelques mètres au-dessus des fjords, et donnes quelques points de vue intéressants.

8 bus (1)

Et puis voilà, nous arrivons dans les fjords proprement dit. Le spectacle est magique, les décors totalement inhabituels. Ces pans de montagnes abruptes, passant de 0 à 1300m d’altitude en trois fois rien de retrait, donnant des inclinaisons à donner le tournis, c’est bien un type de paysage que nous n’avions encore jamais vu de nos propres yeux. Et la verdure présente dans le Doubtful sound est éclatant. De nombreuses chutes d’eau viennent agrémenter le paysage. Mais aujourd’hui, il n’y en a pas beaucoup. La plupart sont éphémères et n’apparaissent que lorsqu’il y a de la pluie et, dans ce cas, il y en a environ 20’000 sur ce seul fjord. Mais nous ne nous en plaignons pas, car si nous ne les voyons pas c’est que la météo est plutôt de notre côté aujourd’hui. Une aubaine, sachant qu’il pleut 200 jours par ans sur les fjords.

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Arrivés au bout du fjord, nous rencontrons la mer de Tasman. Aujourd’hui, elle est particulièrement forte et de grosses vagues s’écrasent sur les rochers faisant office de remparts à l’entrée du Doubtful.

10 tasman sea (1)

Mais le moment fort de cette petite croisière arrivera sur le chemin du retour. Rentrant dans un bras du fjord et s’en allant jusqu’au fond, le capitaine demande à tous les passager de sortir sur les ponts, d’éteindre tout appareil électronique et de faire silence. Il coupe les moteurs, arrête les générateurs, stoppe les ventilateurs de la climatisation, et nous demande d’écouter, simplement…..

Le moment est vraiment fort, intense dans l’immensité qui nous entoure, encerclés par 4 gorges qui étaient autrefois des lits de super glaciers venants se jeter dans la mer salée.

11 gorges (4)

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La journée fut parfaite, et plus encore. La cerise sur le gâteau, ce sera la rencontre du jour. Avec nous sur le bateau, nous entendons deux messieur parler français, mais dans un accent connu. Marcel et Daniel voyagent avec leurs épouses Cora et Lorna. Marcel vient de Neuchâtel, notre région. Mais le plus surprenant, c’est que c’est une vieille connaissance de la famille. Il connait mon papa, et mes trois oncles. Ils sont du même village, Marin, et ont partagés de nombreux moments notamment avec le Hockey Club Marin. Faire ce tour en bateau avec eux quatre aura été fort sympathique, aura rendu la journée unique et ajoutera une nouvelle anecdote sur notre voyage.

12 ensemble

Demain, le programme devrait nous mener au Milford Sound.