Sydney 2/3. Encore des retrouvailles, et des au revoir. Du 16 au 18 avril 2016

Samedi, une certaine euphorie nous habite à l’idée d’avoir trouvé notre bonheur à un prix en-dessous de la limite maximale, bien qu’en-dessus de ce que nous aurions considéré comme étant « l’affaire du voyage » ! Une certaine euphorie aussi concernant une retrouvaille que nous faire aujourd’hui. Cet après-midi, c’est Enrique et Lucia qui viendront nous rendre visite… oui, ceux-là même que nous avions rencontrés en marchant sur l’Isla del Sol en Bolivie, qui nous avaient invités pour notre premier Asado argentin dans leur famille à Santiago Del Estero. Ils habitent Sydney depuis 5 ans (avec une pause voyage d’un an).

Mais la journée commence par un peu de repos bien mérité après ces multiples allers-retours. C’est aussi un moment où les enfants profitent encore un peu de leur grand-papa car s’il y a de l’euphorie, il y a aussi la peine en sachant que c’est le dernier jour avec lui. Nous profitons de sa présence pour fêter l’anniversaire de Jimmy (en avance) et de Soraya (en retard) avec un membre de la famille. C’est en fin de matinée qu’arrivent Kike et Lucia ainsi que leur amie Daniela qui est venu leur dire bonjour depuis l’Argentine. En parfait argentins qu’il est, Kike est venu avec son grill à gaz et de la viande à griller… et oui, même en Australie les argentins mangent des Asado.

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Nous passons un bel après-midi avec des personnes que nous aimons, de la famille comme des amis, et Jimmy reçoit déjà quelques cadeaux ainsi que de superbes gâteaux d’anniversaire.

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Une fois les amis partis, nous avons tous profité d’une dernière soirée avec mon papa. Sa venue tombait à pic. Cela ne faisait pas trop longtemps que nous avions quitté la famille après notre halte d’un mois en Suisse et la séparation avec mon papa s’est faite sans trop de chagrin, du moins sans grosses larmes. C’est à 3h du matin que je pars avec lui pour l’emmener à l’aéroport. Les au revoir vont être quelques peu abrupts puisque je prends 220$ d’amende pour avoir quitté mon véhicule dans la zone « drop-off ». Malgré mes explications sur la nécessité d’aider mon papa en chaise roulante, l’agent continuera son travail et me menacera même de faire venir la remorqueuse si je quitte à nouveau le véhicule pour rentrer dire au revoir à mon père. Décidément, l’aéroport de Sydney reste maudit pour nous !

Dimanche, nous retrouvons Enrique et Lucia pour une visite guidée de Qstation. Tout d’abord, lorsque nous arrivons, nous sommes couverts de cadeau. Nos amis argentins nous gâtent et nous offrent un kayak gonflable, un monopoly ainsi que deux chaises de camping, merci !

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Qstation, situé sur la rive Nord de la baie de Sydney, ce lieu est la première zone de quarantaine mise en place par les colons anglais. Le site est maintenant devenu un hotel, un restaurant et un bar, mais l’ensemble reste accessible dans les heures d’ouvertures au public. Dans ce lieu, on y retrouve de vieux frigo, d’ancien potager à bois, et autres pièces meublées à l’ancienne. Il y a aussi les fours autoclaves, les chambres de désinfection (ma fois bien similaire à ce que pouvait être les chambres à gaz de la 2ème guerre mondiale) et les douches où les nouveaux arrivant devaient se frotter avec un produit terriblement agressif pour la peau afin d’éliminer toutes les bactéries. Au niveau des logements, il y avait 3 classes selon les moyens des voyageurs. Mais peu importe dans laquelle on s’y trouvait, certains seront restés jusqu’à 5 ans pour être considéré « sans risque » pour l’extérieur. Et oui, la fameuse réputation de la quarantaine australienne vient de très loin dans le temps ! Merci à Kike et Lucia pour leurs explications intéressantes.

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Nous nous rendons ensuite à Fairfax, non loin de Qstation, pour admirer la ville depuis l’autre rive. Nous n’avons pas la chance de pouvoir profiter d’un ciel bleu mais le coup d’œil en vaut déjà la peine, alors on imagine par beau temps.

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Lundi, nous commençons par une rencontre que nous attendions depuis un moment. Nous avons une connaissance qui vit ici à Sydney avec ces trois enfants. Anouschka étaient la maitresse d’école enfantine de Soraya, puis de Jimmy pour un moment. Nous nous retrouvons au parc pour boire un café autour d’une place de jeu pour enfants. Mais le temps ensemble fut un peu court, heureusement que nous nous reverrons avant notre départ.

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Aujourd’hui, c’est aussi le jour où les choses doivent se concrétiser. Tout d’abord, c’est le propriétaire du Toyota qui doit nous confirmer que tout est bon, que les réparations et le changement de pneus sont faits. Il nous confirmera cela dans la journée et fixons à mardi la transaction. Quant au camper-trailer, j’avais reçu une mauvaise information de la banque concernant le transfert international d’argent. Donc, notre problème, c’est que l’argent peu prendre jusqu’à 4 jours ouvrable et aux horaires suisses pour arriver sur le compte des propriétaires australiens. Pas bien grave en soit, mais sauf qu’en y réfléchissant bien, cela peut nous repousser à vendredi pour prendre possession du trailer alors que nous avons l’appartement jusqu’à mercredi. Et franchement, refaire tous nos bagages pour partir dormir dans un backpacker à 150$/nuit et tout redéfaire nos affaires deux jours plus tard quand nous aurions le trailer, non merci ! Alors nous proposons à Brian et Judy de prendre leur Jayco (marque du trailer) déjà mercredi en laissant mon passeport et de l’argent en caution et nous pourrions dormir dedans dans la région des blue mountains en attendant qu’ils reçoivent l’argent. Ils acceptent la proposition sans autre et nous en sommes parfaitement ravis !

Donc, pour en revenir à la journée de lundi, celle-ci est consacrée à une activité peu ordinaire pour nous : Shopping chez Ikea et Supercheap Auto ! Et oui, le plaisir que nous avons en faisant l’acquisition d’un véhicule moins cher mais pas équipé ainsi qu’un camper-trailer vide, c’est que nous pouvons les équiper à notre gout. Pour le matériel véhicule, supercheap Auto ou Anaconda (magasin de camping) sont très bien. Compresseur 12V, kit de mèche pour pneus, bidons d’essence, etc. Et oui, un tour dans l’Outback australien se prépare. Sinon, pour rendre son chez-soi un peu cosi, avec de belles housses de duvet et quelques déco par-ci, par-là, Ikea est vraiment l’endroit rêvé !

Après ces achats, nous nous rendons au trailer et y déposons nos affaires. Nous sommes terriblement excités en ordonnant le tout. Nous nous sentons vraiment bien à l’intérieur de cette nouvelle maison et sommes tous très heureux à l’idée d’y passer du temps…

 

Sydney 1/3. Des retrouvailles et des trouvailles. Du 12 au 15 avril 2016

Nous arrivons mardi 12 avril à l’aéroport de Sydney. Et comme si les soucis de notre premier passage ici (en nous rendant en NZ) ne suffisaient pas, il a fallu que notre deuxième arrivée soit également ponctuée d’une petite difficulté. Certes nous en sommes responsables ; l’oubli du siège rehausseur d’Amélie sur le tapis des bagages à fait paniquer la sécurité australienne. Du coup, ni une ni deux ils ont envoyé l’objet en quarantaine. Donc, pour le récupérer, ce n’est pas moins d’une heure qu’il nous aura fallu.

Cela n’a fait que repousser un peu des retrouvailles attendues. C’est à Willoughby que nous retrouvons mon papa qui lui était arrivé la veille. Nous sommes accueillis avec enthousiasme et aussi avec beaucoup de chocolat…. Mmmmmh c’est bon de recevoir de la famille en voyage !

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Tous contents de nous retrouver ensemble, nous recevons cet après-midi une première visite pour un véhicule 4×4. Ah oui, peut-être devons-nous expliquer que nous recherchons un 4×4 avec une caravane tout-terrain pour parcourir l’Australie. Mais cette première visite n’est pas convaincante.

Mercredi matin, nous partons tous le 6 à la visite de Sydney. Après quelques déboires sur les routes d’accès à la ville, nous arrivons enfin à nous stationner proche de l’opéra après être passé par le Harbour bridge. Petit conseil aux voyageurs se rendant à Sydney, visitez la ville en transport publique car à 39$ les 3 heures de stationnement auxquels vous additionnez les péages, les tickets de bus sont vite remboursée. Pour nous, la chaise roulante de mon papa nous rends cette option un peu compliquée.

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Nous commençons nos découvertes par l’Opéra house. Claire et moi sommes particulièrement touchés d’être en Australie. C’est ici, à peine 3 mois après notre rencontre, que nous avons réalisé notre premier voyage en amoureux. Mon papa aussi ne reste pas de marbre. L’opéra house est tout de même un édifice hors du commun.

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Nous faisons aussi la visite du royal botanic garden. Créé il y a tout juste 200 ans à la demande de la royauté d’Angleterre, ce parc est absolument immense et en faire le tour à pied demande du temps, ce que nous n’avons pas en masse puisque nous devons également chercher un véhicule 4×4. C’est donc en petit train que nous le découvrons, et ce n’est pas les enfants qui s’en plaignent !

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Nous passerons le reste de la journée sur Paramatta Road. Cette rue de plusieurs kilomètres est une sorte de zone artisanale/industrielle dont une partie est consacrée à l’automobile, neuf et occasions. Nous prendrons plusieurs heures, scruterons plusieurs voitures, discuterons de prix, mais nous repartons sans réelle conviction d’avoir trouvé notre carrosse et même un peu déçu car nous mettions beaucoup d’espoir à trouver quelque chose ici. En repartant, nous constatons que nous sommes proches de l’adresse d’une personne qui vend un Jayco Outback (caravane pliable tout terrain). Nous l’appelons et il accepte que nous venions à l’instant. Nous sommes reçus par deux personnes d’un certain âge, Brian et Judy, tous deux adorables et inspirant confiance. En entrant dans la caravane, ni une ni deux nous sommes tous avec le sourire. Nous nous sentons comme à la maison, presque déjà chez nous. En plus, la démonstration sur le pliage et dépliage de la remorque nous convainc dans ce choix-là. Nous terminons sur une bonne note mais n’allons pas acheter la première venue.

Jeudi, nous partons tôt pour faire 1h30 de route et aller voir une autre caravane. Nous faisons cela avec mon Papa, toujours, qui nous suit dans cette aventure et tout ce temps en voiture qui pourrait être longuet est en fait un moment où les enfants jouent avec leur grand-papa.

La route pour voir cette caravane n’aura pas servie à trouver celle que nous voulons. Rapidement cette caravane nous parait mal entretenue et elle pue le renfermé. Mais nous ne serons pas venus jusqu’ici pour rien, quand on dit que le hasard fait bien les choses. Nous nous arrêtons pour voir une voiture en vente le long de la route. Un rapide coup d’œil, puis un essai sur route et finalement une longue discussion avec le proprio… je crois que nous avons trouvé notre 4×4, un Toyota Landcruiser Prado de 1998, 3,4lt V6. Nous prendrons la décision plus tard…

Sur le chemin du retour pour Sydney, nous voyons un panneau « Reptil Park ». Nous décidons de nous y arrêter pour voir ce que c’est, et nous en sommes ravis. Les enfants comme mon papa vont avoir la possibilité de voir les premiers animaux typiquement australiens comme le Kangourou (Wallaby), le Koala ou le Dingo. Une halte de plusieurs heures forte agréable.

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Vendredi, nous retournons à Sydney avec mon Papa. Cette fois, c’est pour rentrer dans la tour et dominer la ville depuis son étage panoramique. La vue est impressionnante et nous prenons le temps d’en profiter. A 110$ pour les 6, on serait bête de ne pas y rester longuement. Nous scrutons les alentours et déterminons les choses que l’on voit. D’ailleurs, c’est une chance pour nos enfants de l’avoir fait, car la rumeur dit qu’un projet immobilier vouerait la tour à la démolition dans un avenir proche.

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Nous partons ensuite à Bondi Beach. Plage connue dans le monde entier, elle est en tous les cas la plus prisée des jeunes à Sydney. Nous nous y baladons un peu et prenons notre pique-nique avec une belle vue sur la baie.

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C’est ce vendredi aussi que nous lançons les dés pour la suite de notre voyage en Australie. Nous acceptons tout d’abord l’offre du propriétaire du Toyota. Ensuite, nous retournons voir le camper-trailer de Brian et Judy pour vérifier encore quelques points. Dans la discussion que Claire et Soraya ont avec mon Papa, notre fille semble vraiment emballée par cette caravane. Elle lance même avec une totale sincérité : « je mettrai tout mon argent de poche pour qu’on prenne celle-ci ».

La décision familiale est prise, c’est celle-ci que nous voulons. Nous discutons avec Brian et Judy sur les détails, dont le prix. Nous proposons un prix plus bas, qu’ils acceptent rapidement, disant être heureux de vendre leur « bébé » à une belle famille… ça y est, nous devrions avoir trouver le 4×4 et le camper-trailer qu’il nous faut !

 

La Nouvelle-Zélande en quelques chiffres (et quelques lignes). Le 13 avril 2016

LES LIGNES

Que dire de cette Nouvelle-Zélande ? Les sentiments sont partagés au moment du bilan, mais certainement pas à cause du pays lui-même, c’est bien plus en rapport au moyen de transport (et d’hébergement surtout) que nous avons choisi. La NZ est juste splendide pour sa nature, les différences entre sècheresse et verdure luxuriante sont énormes, à l’image des changements météo qui eux sont terrifiants. Abel Tasman tout d’abord, puis le Northland ainsi que Coromandel, mais également les Fjords, Tongariro et la région du Mount Cook nous ont terriblement impressionnés. Dans une moindre mesure mais toujours avec énormément de plaisir, nous avons aimé voir les Cattelins et la péninsule d’Otago.

Toutefois, certains points négatifs ont jalonnés notre voyage ici, car forcément tout ne peut être parfait. De ce côté, il y a en premier lieu, pour nous, une abondance de touristes (surtout de backpackers dont le mode de vie ne correspond pas vraiment à des vieux comme nous sommes) rendant le contact avec les vrais Kiwis assez compliqué, car eux en ont parfois ras-le-bol. Il y a aussi la météo, plutôt capricieuse, rendant compliquée la planification de l’itinéraire ou des marches. Puis, d’un point de vue écologique, nous avons relevé une totale aberration entre ce que la Nouvelle-Zélande transmet comme image d’elle-même, nature et écolo, et la réalité. C’est un des pays utilisant le plus de pesticides et engrais chimiques au m2 dans le monde. C’est également un pays consommateur au possible, dont les produits vendus sur leur territoire sont tous « Made in China » de très piètre qualité (nous avons changé 2 fois de tente sous garantie, 2 matelas gonflables, et 2 fois aussi les casseroles). Mais le point le plus négatif aura été le type d’hébergement choisi. Avec un simple van mal aménagé et une tente à monter et démonter à chaque déplacement, plus le fait de vider les matelas, sac de couchage, etc. La promiscuité et plus précisément le manque d’intimité individuelle (qui était un des points fort de notre Rhino) ont fait que nous étions littéralement les uns sur les autres durant les 90 jours. Certaines périodes ont été plus compliquées que d’autre, mais le tout a été de retrouver un équilibre lorsque cela le nécessitait.

Mais c’est justement les points forts de la NZ qui aident à le retrouver. On parlait de la nature au-dessus, plutôt du côté des paysages, mais il y a la faune qui vient également égaillé les découvertes ici. Il y a déjà les oiseaux, pas forcément incroyables de couleurs, mais simplement beaux avec des plumages d’un noir intense et quelques parties contrastant avec un blanc pur. Le chant des oiseaux est aussi quelque chose à vivre en NZ. Tantôt semblant sortir d’un synthétiseur, tantôt paraissant d’un son pur cristallin, ces chants rendent souvent le réveil agréable, ou un moment, comme au Doubtful Sounds, magique. Il y a aussi ce qui vient de la mer comme les Pingouins (Antipodes, bleus), les lions de mer, les otaries avec leurs bébés, les dauphins. Chaque rencontre avec cette faune est un moment unique et la quantité que l’on peut en apercevoir est tout de même assez impressionnante. Pour tous ces points positifs, nous garderons un souvenir précieux de ce pays, peu importe si le mode de transport nous a causé bien des soucis, nous sommes vraiment ravis par ce que la NZ a à offrir. Et si c’était à refaire, nous prendrions un Camping-car (un vrai et non un van) self-contained pour rendre l’expérience encore plus incroyable.

LES CHIFFRES

Jours passés sur territoire néozélandais : 90 jours

Kilomètres derrière : 7400 km

Km de gravel road : Un bon petit paquet, mine de rien. Mais si on avait eu des gravel road aussi bonne aux Amériques, ça aurait été de la rigolade !

Litres de d’essence consommés : 1175 lt

Nb de nuits en camping DOC (gratuits pour nous) : 21

Nb de nuits en camping payant : 12

Nb de nuits en motel : 23

Nb de nuits chez Willis et Gwyn : 16

Nb de nuits chez Torrey et Kellie : 4

Nb d’états traversés : Particularité en NZ, il n’y a pas d’état, de province ou de départements. Ici, tout est dirigé par l’état, puis par les councils.

Nb de parcs nationaux : Ici, il y a des réserves par dizaines. Alors les énumérer toutes serait trop long. Toutefois, nous avons adoré les Kauri, Tongariro, Abel Tasman particulièrement et les fjords.

Km de marche (et on parle de vraies marche, pas de balade dominicale) : 140.70

Dénivelé total : 11’972 m

Temps de marche (en déplacement) : 33.15h

Distance moyenne par marche : 7km

Plus longue marche : 21km au Tongariro Alpine Crossing

Coûts des dépenses alimentaires (uniquement en magasins) : 4’700.00 NZD

Dent tombée : ça fait un moment qu’il en tombe plus dites donc…

Rencontres prolongées d’autres voyageurs : 3 familles dont leur rencontre à égaillé notre solitude au milieu de milliers de touristes.

Autostoppeurs pris dans Bob : 1

Soucis avec Bob : Quelques petits points de rouille à traiter avant la revente.

Nb de fois où on s’est dit : « mais qu’est-ce qu’on aurait été bien avec notre Rhino » : beaucoup, mais vraiment beaucoup de fois.

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