Les baleines, et que ça saute… Valdez est à la hauteur de sa réputation. Du 8 au 13 novembre 2015

L’arrivée à Puerto Madryn sonne le glas des nombreux kilomètres que nous avions à faire, 2700 en tout, pour arriver à la péninsule de Valdez depuis les chutes d’Iguazu. La ville portuaire de Puerto Madryn, sans charme aucun, n’a de pratique que ses supermarchés, pour y faire le plein, ainsi que son information touristique pour y glaner quelques précieux conseils. On nous indique que la Playa Doradillo est un bon endroit pour observer les baleines et c’est ici que nos amis les Brimaud c’étaient installés. Il semblerait que la marée haute soit un moment idéal pour les voir proche de la côte.

Dès notre arrivée sur le site, nous voyons tout un tas de baleines, mais assez loin. Nous restons sur le mirador et observons ces masses sautant malgré leur 38 tonnes, tapant avec leur queue pour jouer.

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Nous continuons notre route seulement pour quelques centaines de mètres afin d’établir nos quartiers sur la playa Doradillo, un spot connu des voyageurs pour y être le meilleur endroit hors de la réserve naturelle payante et offrant un point de vue incroyable sur les baleines. Nous constatons qu’il est connu par la simple présence de 5 véhicules au moment de notre arrivée, 4 allemands et 1 suisse. Nous nous installons sur la plage et continuons à observer les baleines à deux ou trois cents mètres, sautant les unes après les autres !

Lundi matin, je me réveille assez tôt et termine la réparation de l’ouverture de notre cassette de toilette et alors que je me trouve sur le côté du véhicule ne donnant pas sur la mer, Claire toque contre la fenêtre et me dis : « BALEINE ! » Elle le crie ensuite dans le véhicule pour réveiller les enfants. Dans l’excitation, Jimmy en loupe une marche de l’escalier pour descendre de son lit mais ne se fait heureusement aucun mal. Tellement pressés de voir ce spectacle grandiose, Claire et Amélie sortent en petite-culotte et t-shirt sur la plage.

Pour une fois, tout ce que nous avaient conté les autres voyageurs était vrai. Non pas qu’ils soient menteurs habituellement, mais que la perception de la vérité est subjective, comme dire que l’on voit les baleines à 10m du bord alors qu’elles seraient à 40 en réalité. Donc forcément, on finit par être parfois déçus, mais Valdez tient toutes ses promesses ! Les baleines sont déjà belle et bien présentes, en nombre, et elles passent là, à 10m de vous. Leur souffle est fortement audible, les détails perceptibles et les bébés jouent autour de leur mère. La sensation est incroyable, une pure et simple bénédiction que la vie nous offre. Les poils se dressent, le ventre se serre, l’émotion est là. D’en avoir tant entendu parler, de l’avoir si souvent vu en photo, cette fois c’est nous. Nous y sommes et en prenons plein la vue !

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Le reste de la journée continuera un peu dans ce style, entre école, repas face à la mer pour observer au loin et longue pause assis au bord de l’eau regardant les baleines tantôt loin, tantôt proches.

Puis, en fin d’après-midi, arrive un nouveau couple de baleines à une dizaine de mètres de la plage. Cette fois-ci, bien que totalement interdit par le règlement du service de la faune, je mets ma combi 0.5mm, mon masque et mon tuba, puis je me jette à l’eau. La tentation, bien que l’eau ne soit qu’à 14°, de nager avec ces baleines était bien trop forte pour y résister. C’est, ici, une occasion unique de le faire et de réaliser un rêve fou, encore un ! L’adrénaline faisant son effet, je ne ressens absolument pas la sensation de froid et je nage en brasse pour ne pas effrayer mes voisines. Je suis là, à 5 mètres de ces énormes mammifères de 18m de long et quelques 38to ! L’eau est beaucoup trop chargée en plancton pour ne voir ne serait-ce que leur ombre sous l’eau. Peu importe, les observer à si peu de distance, être dans l’eau avec elles et se sentir si minuscule devant cette masse imposante de tranquillité, c’est tout de même quelque chose.

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Cette première journée fut remplie comme nous l’espérions. Nous nous couchons tard mais avec le bonheur d’une journée pleine en émotions.

Le mardi, ce sera rebelote pour le matin. De nouvelles baleines passent juste devant notre porte, sautent plus loin, jouent de leurs nageoires et montrent leur queue !

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Puis, au même moment, commence un ballet de camping-car. 2 allemands s’en vont alors que 2 français (Aurelie et Charles ainsi qu’Audrez et Gaël) et un suisse (Emanuelle et Nicolas) arrivent quasi simultanément sur place. Tous les trois ont deux enfants, une réelle surprise pour les nôtres et un plaisir immense à retrouver des enfants francophones ! Lorsque les suisses sont arrivés, ce fut une bonne surprise. Nicolas et Emmanuelle sont un couple de romands qui s’était joints à nous le dimanche de la rencontre des voyageurs que nous avions faite aux Rousses, en France, avant le départ. Nous nous retrouvons, une année et demie plus tard complétement par hasard sur les routes argentines. Nous nous étions d’ailleurs dit, lors de cette rencontre en France, que nous pourrions nous retrouver ici à Valdez pour voir les baleines ensemble. Le destin était écrit, nous devions voir les « Lulu La Tortue » avant de partir des Amériques.

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Cette rencontre arrive au bon moment sachant qu’à la playa Doradillo il n’y a pas beaucoup d’activités hors de l’observation des baleines, et elles ne sont malheureusement pas là tout le temps. Donc, se retrouver avec 6 autres enfants pour occuper les journées est juste parfait. D’autant plus que le mercredi restera assez calme au niveau des activités des baleines. Quelques sauts et passages lointain nous ont animés entre les moments de jeu et de discussion.

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Le soir, comme la veille, nous avons grillé au charbon de bois de belles pièces de viande argentine, un asado bien d’ici, accompagné de vin et de bonne humeur !

Et jeudi matin, le cadeau du ciel nous parvient ! Les marées hautes se décalant tard le soir lorsqu’il fait nuit, celle du matin revient également plus tard et offre des conditions idéales de 6h à 11h pour l’observation. Et ce matin, ce n’est pas une, ni deux, mais quatre baleines qui sont restée de 6h45 à 11h devant nous. Nous avons tout d’abord pu les observer.

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Puis nous baigner avec !

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Pour ensuite déjeuner en les regardant et en écoutant leur souffle et les sons qu’elles émettent !

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Une nouvelle journée se déroule entre jeu et courses au supermarché, grillade et relaxation, alors que les baleines, elles, sont parties plus au large.

Puis, nous arrivons à vendredi 13 ! Nous craignons la déferlante de ce jour tant maudit chez nous… et bien ici le vendredi 13 doit sûrement porter chance, puisque nous voyons notre première baleine dès 6h30.

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Mais toute bonne chose à une fin… cela fait depuis dimanche soir que nous sommes au même endroit et les journées se répètent un peu. L’excitation de l’observation des baleines le matin tôt laisse place à une latence plus ou moins mortelle, bien que l’on soit accompagné de gentilles personnes. Nous souhaitons partir voir d’autres animaux et, qui sait, si le cœur nous en dit nous reviendrons ici plus tard. En plus, partir après le show que nous ont fait les baleines ce matin, c’est sûrement ce qu’il y a de mieux à faire !

 

Des chutes d’Iguazu aux baleines de Valdez. Du 5 au 8 novembre 2015

Hier, nous avons visité les chutes d’Iguazu depuis le côté brésilien. Après cela, je m’étais questionné sur ma capacité à m’émerveiller des découvertes que nous faisions actuellement. Sommes-nous tombés dans une sorte de routine dans ce domaine ? Et bien non, pas du tout ! La visite des chutes d’Iguazu depuis le côté argentin nous en a donné la preuve.

Au Brésil, malheureusement, nous avons eu un ciel très couvert et une forte pluie sur la fin de la visite. En plus, il est clair que le parc côté brésilien n’est pas le plus spectaculaire.

Donc, après une nuit passée juste devant l’entrée du parc argentin, nous avons pris les sentiers dès 8h du matin, à l’ouverture, après nous être fait de nouveau volé au guichet, payant près de 30 USD/pers d’entrée (contre 17$ il y a 10 mois en arrière pour les étrangers et 3$ pour les locaux encore aujourd’hui !). Heureusement que nous changeons nos dollars au marché noir car cela nous a réduit le prix de plus de 30%, sachant que sur celui-ci 1$ se change contre 15 à 16 Pesos, contre 9.6 au change officiel. Cela s’appelle le Dollar blue !

Mais qu’à cela ne tienne, nous voulions être dans les premiers pour nous aventurer dans le parc et prendre le petit train qui nous transporte de point d’intérêts en points d’intérêts avant que la queue ne vous oblige à attendre 1h30 à la première station. Nous montons dans le train après 20 minutes environ et nous nous rendons directement à la gorge du Diable. Depuis le train, c’est environ 800m de passerelle qui vous mène sur la chute, vos pieds se trouvant presque au-dessus du vide, les chutes débutant quelques dizaines de centimètres à peine après la passerelle.

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Quelle sensation incroyable d’être là, on se dit que la journée commence fort ! Nous avons aussi la chance (ou pas) d’être actuellement dans une période avec un très fort débit d’eau offrant des chutes superbement garnies et impressionnante au possible. Mais la médaille ayant toujours deux faces, le revers est que l’île au centre des chutes est fermée au public et nous ne pourrons nous y rendre de ce fait ! Mais restons dans cette gorge du diable… Nous observons cette formation géologique recouverte de cette eau tout en étant totalement subjugués ! Cette puissance, ce grondement, ces gouttelettes d’eau remontant du fond, ces dizaines d’hirondelles passant au travers des chutes ; tout cela est simplement envoutant, remuant, émouvant ! Un spectacle hors du commun offert en cadeau par notre nature si surprenante !

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Nous repartons de ce lui avec les étoiles dans les yeux. Et la prochaine étant, c’est le sentier supérieur. D’une longueur de presque 2km, il offre de nombreux points de vue surplombant d’autres chutes. Il faut savoir que les chutes d’Iguazu c’est 2,7km de largeur de chutes (les plus larges au monde il me semble) pour un total d’environ 200 unités. Le sentier supérieur offre un panorama somptueux sur l’ensemble du site, sûrement meilleur que le sentier inférieur, bien que ce dernier passe par plus de verdure. Les deux sont splendides et à faire !

Une chance que nous avons aujourd’hui et que nous n’avions pas hier, c’est d’être accompagné par le soleil. Il n’est pas avec nous à chaque instant mais nous rejoint de temps à autre et cela change totalement la beauté du lieu. Bon, il faut dire que nous avions eu la pire hier avec cette pluie battante !

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Après la balade supérieure, nous avons décidé qu’une pause s’imposait ! Nous partons alors pour manger au buffet du restaurant de la SELVA. Pour 30 USD (au change bleu), nous avons pu manger un superbe buffet abondant et succulent, avec du tiramisu au dessert, quelque chose que nous n’avions plus eu depuis longtemps. Mais bon, frangine, il n’était pas aussi bon que celui de ton mari, donc le message est lancé pour Noël J !

Nous repartons de plus belle pour le reste de la visite, après cette pause dîner de premier choix pour un prix tout à fait raisonnable. Le plein d’énergie est fait la motivation pour continuer est là. Nous partons alors pour le sentier inférieur. Celui-ci passe tout d’abord par une forêt bien dense et c’est ici que nous voyons les singes !

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4 Chutes d'Iguazu singe (1) 4 Chutes d'Iguazu singe (4) 4 Chutes d'Iguazu singe (2)

Le chemin continue ensuite pour se rendre à l’avant du premier étage de chutes. Passant en face de certaines, carrément au pied d’autres, la variété du sentier inférieur est intéressante. Le point fort de celui-ci est la proximité de certaines chutes, alors que le sentier supérieur offre une belle vue d’ensemble. La passerelle s’approche si près de l’une d’elle qu’il est simplement impossible de ressortir sec de cette aventure (pas obligé de l’emprunter).

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Ainsi, le sentier inférieur terminé, il ne nous restait plus que l’île à visiter, toutefois, comme conté précédemment, celle-ci est fermée au public car les bateaux y menant ne circulent pas à cause du débit d’eau. Mais cela n’est qu’un mal pour plusieurs biens. Premièrement, après 7h de visite, le dos et les jambes commencent à parler un peu, puis, deuxièmement, nous savons que d’Iguazu à la Péninsule de Valdez, notre prochaine destination, 2700km sont à parcourir !!! Donc, autant commencer ce soir en prenant déjà près de 300km d’avance… les yeux encore émerveillés de cette découverte du jour, d’avoir vu un des points forts de l’Amérique du Sud !

Les 3 jours suivant se passeront donc sur la route. Au programme : beaucoup d’école pour les enfants, un peu de jeux sur leurs iPods, et beaucoup d’heures de conduites pour les parents ! Mais il faut dire que rouler ici est un plaisir après l’Amérique centrale et la partie Nord de l’Amérique du Sud. La qualité des routes est bonne comme en Equateur, mais là-bas vous êtes dans les Andes donc ça tourne beaucoup. Une grosse journée de route représentait 500km. Ici, nous avons atteint les 960km en une seule journée. Nous n’aurons pas rencontré de soucis majeurs, bien qu’à l’arrière le côté gauche nous refait le même bruit de casserole qu’il y a 10 jours auparavant et maintenant nous avons celui de droite qui commence à faire le sien… Mais qu’est-ce qu’ils ont foutu dans ce garage de m…. à Santiago !

Depuis quelques jours, nous rêvons de faire venir Daniel Bapst, notre support technique IVECO en Suisse du garage RECAM pour qu’il bichonne notre Rhino, et lui règle ces petits bobos occasionnés par des mécanos incompétents !

En attendant de devoir peut-être un jour lui payer un billet d’avion, nous entrons avec tous ses kilomètres derrière nous en Patagonie. Les paysages sont parfois beaux, parfois surprenant, et finalement ennuyeux. Beaux, pour ses petits lacs et ses plateaux ; surprenant, comme cette mygale traversant la route ; ennuyeux, pour sa monotonie des plateaux énormes à perte de vue !

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Et maintenant, à nous les baleines de Valdez !

Un pays fait d’or bleu et d’or vert. 2/2 Le Paraguay du 1er au 4 novembre 2015

Le récit par Soraya, tiré de son journal de bord et tapé par elle-même.

1.11.2015

On a refait une visite du barrage d’ITAIPU, mais cette fois de jour. On avait le bus juste pour nous ainsi que la guide car il n’y avait pas d’autres visiteurs. Elle nous a expliqué beaucoup de chose. Le barrage a couté 20 milliards de dollars pour la construction. On est arrivé à un mirador où on a pu voir comme ils relâchaient de l’eau par des énormes trappes. On a eu beaucoup de chance car c’est rare qu’ils les ouvrent, seulement 5 ou 6 fois par an. On a vraiment été chanceux ! Puis on a roulé sur le barrage de sorte qu’on avait le lac sur notre droite et le barrage sur notre gauche. C’était magique !

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Puis on est retourné à Rhino où on a déjeuné. Après, on est allé visiter le zoo. C’était trop bien ! Il y avait des panthères, des aras, des pumas, des toucans, des ocelots, des jaguars et pleins d’autres animaux. Ils étaient majestueux !

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On est partis, après ça, dans un camping trop chouette. On y a fait un tour à cheval sur une charrette et après, j’ai paressé dans le hamac à lire sur la liseuse. Le soir, on a fait une grillade.

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2.11.2015

Demain, c’est l’anni de papa ! C’est un vieux chnoc (blague) à presque 34 ans ! On s’est réveillé puis on a déjeuné et, après, on a écrit nos journaux de bord. Après l’école, on a joué sur tout le terrain ! Le camping était trop bien ! Et gratuit !

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3.11.2015

Ça y est, Papa a 34 ans ! Youpi !

Le matin, on s’est réveillé et on a souhaité Joyeux Anniversaire à papa. Malheureusement, le ciel était nuageux et il pleuvait alors, on a fêté l’anniversaire de papa dans Rhino.

Après, on a fait l’école malgré tout et on a mangé du rizotto aux bolets pour midi. Le matin, c’était pancakes et le soir, tarte aux légumes. Mmmmmmmh !

Aux quatre heures, maman a fait un gâteau et on a décoré la table. Sur l’assiette de papa, on a disposé les cadeaux et il les a ouverts.

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J’ai fait un dessin avec le drapeau Suisse et un bracelet, Jimmy a fait un bracelet qu’il a tressé lui-même, Amélie a fait un raccord pour le cache de l’appareil photo et, tous ensembles, on a fait une fleur où on a écrit ce qu’on aimait chez papa. On a mangé le gâteau à la courge et il était trop bon !

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En fin de journée, une classe d’école est arrivée et c’était bruyant. Après, on a pris une douche et on a regardé un « Il était une fois la vie » car papa voulait bien. Le soir, on a mangé la tarte ! Elle était trop bonne !!!

4.11.2014

On est partis tôt le matin, vers huit heures, et on a passé la douane du Brésil. On a roulé jusqu’aux chutes d’Iguazu. En portugais on dit : Las cataratas do Iguaçu. On a pris un bus puis on n’a pas marché longtemps avant de les voir ces fameuses chutes de trois kilomètres de large ! C’était magnifique !!!

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Sur le chemin, nous avons vu des toucans, vers un nouveau point de vue.

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On est partis du mirador, après plusieurs photos, pour continuer la balade. Puis, la pluie a commencé à tomber… mais les chutes sous la pluie c’était encore autre chose !!! C’était super beau ! Depuis le côté Brésilien, on voyait le côté Argentin.

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Les chutes d’Iguazu sont faites de plusieurs cascades et sont les plus larges du monde. (Pas les plus hautes) Ces tonnes d’eau qui tombaient c’était incroyables. Quand on est rentré à Rhino, on était trempé jusqu’au slip… On s’est changé puis on a passé la douane pour l’Argentine. Ça n’a pas pris long. On a roulé jusqu’au Parc National d’Iguazu côté argentin pour y dormir. On a super bien dormis !!

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